Le Centre d’information et de formation en matière de droits humains en Afrique a organisé un café citoyen sur les droits digitaux. Les débats ont porté sur le nouveau code pénal Burkinabè, notemment le caractère liberticide ou pas de cette loi. Pour Ousmane Paré, elle a pour objectif de contraindre les medias à se contenter de ce que le gouvernement va donner comme information. Suivez sa réaction sur Lefaso.Tv

Source: LeFaso.net